mardi 21 août 2012

Dernières photos


Quelques photos de plus, pour les derniers jours où l'on n'a pas pu en prendre avec nos téléphones portables...

Coucher de soleil sur la crique d'Islares
Bye Bye Euskadi...

Santander ! Repos bien mérité



On reprend des forces après tout ca ! Bar à Pichos.

Cathédrale de Santander

 
A bientôt !



vendredi 17 août 2012

C'est fini !

La fin du périple s'est faite mardi soir dernier. Avant ça, nous avons pris le temps de profiter à Santander : le dimanche, nous avons visité la ville, avec sa superbe cathédrale, mangé de bons petits plats dans un resto, fait une sieste dans le beau parc du centre ville, mangé une grosse glace rafraîchissante, et fini par un petit coup de VTT en remontant en vélo le grand parc du bord de mer. La soirée a permis de tester la piscine du camping et de faire du vrai repos.
Lundi, dernière journée... Il a fallu démonter la tente et tout ranger avant midi. Mais comme notre départ en bus n'était qu'à 17h, nous avons traîné encore un peu à la piscine, avant de quitter le camping. En guise de repas de midi, nous sommes allés dans un charmant bar à tapas (ou "pichos" comme ils les appellent) repéré la veille : tartines de poulet mariné avec mangue, tartine de chèvre chaud au miel et au jambon fumé, tortillas, ... Un délice ! Le tout accompagné d'un excellent verre de vin rouge local.
Au final, Santander est une ville vraiment sympa, touristique mais pas trop, vieilles pierres et bord de mer joli : bref, une ville pas trop balnéaire (contrairement à l'impression que l'on a pu avoir par exemple à Laredo).
Un peu avant 17h, direction la gare routière, pour retirer les roues des vélos et empaqueter le tout dans des sacs plastiques, du cartons et... du célophane ! Ils avaient une sacrée tête comme ça, mais ça permettait qu'ils soient empaquetés, comme la compagnie de bus le demandait.
Arrivés à Irun, nous nous apercevons au moment de décharger, que le bus a son terminus à Hendaye, contrairement à ce qui était indiqué ; nous remontons vite fait dans le bus pour faire les derniers kilomètres. La recherche d'un camping commence alors, il est 20h30. Ca a l'air compliqué de trouver une petite place dispo ; heureusement, il y a un GCU, où Thomas avait été il y a quelques années. Après quelques minutes de discussion, même si Thomas n'est plus adhérent, le chef de camp nous offre une petite place libre pour passer la nuit : toujours aussi sympa en GCU ! Et Thomas se remémorre cet été où il devait avoir une quizaine d'années.
Après une rapide installation, nous filons manger en ville. Nous nous retrouvons à côté d'un couple d'Espagnols habitant à la frontière, habitués du lieu, avec qui on commence à discuter dans un mélange de français et d'espagnol : lui tient une casse auto, est passionné de voitures et très bavard, il nous raconte sa vie et toutes les voitures de collections qu'il a eu.
Mardi matin, le réveil à 5h45 pique un peu. Le train démarre à 7h, pour une journée de transport. Sur le quai de la gare, le contrôleur vient nous voir et nous dit que le train (intercités, pourtant) n'accepte pas les vélos ; aie ! Bon, après négociation, nous pouvons nous installer. Lors de la réservation des billets, nous avions trouvé des billets de ère classe au même prix que le 2nde. Nous nous retrouvons juste tous les deux dans des cabines de 6 places hyper confortables. On ferme les rideaux et finissont notre nuit quelques heures !
Le midi, nous profitons de nos 2h30 de creux pour aller dans le centre ville de Toulouse manger un bout. Puis on repart en bus : encore une fois, le conducteur râle de voir nos vélos, et dit que nous prenons de la place pour les bagages des gens, que nous ne sommes pas les bienvenus. Passant outre sa mauvaise humeur, nous "plions" nos vélos avec les derniers sacs plastiques qu'il nous reste et nous installons pour 4h de bus dans les petites routes entre Toulouse et Millau.
17h40, ouf, nous arrivons enfin ! Un plouf dans la piscine pour nous rafraichir, et le début des festivités millavoises commencent directement. Mais ca, c'est une autre histoire...
La blog se finit là pour cette année. Merci de nous avoir suivi et de vos commentaires qui nous ont accompagnés dans notre périple. Ce fût vraiment dépaysant avec des paysages magnifiques, des rencontres mémorables, des découvertes culinaires très appréciées.
Allez, à l'an prochain !

dimanche 12 août 2012

Santander!

Ça y est! On l'a fait! Après une grosse journée assez nuageuse, on
arrive à notre destination finale. Réveil dans notre camping crique un
peu viellot mais sympa, on se prend un petit déj à base de beurre et
de croissants grillés. La route est belle et plutôt plate, ce qui nous
permet de tracer un peu plus vite. La fatigue se fait quand même
sentir, on enchane quatres jours sans pause, et le vent s'en mêle. On
mange à loredo, grosse station balnéaire touristique, avec quand même
une sieste sous un olivier. On hésite entre la côte et un chemin plus
direct par les terres. Michelin nous conseille de passer par les
terres parceque c'est joli aussi.:) On va donc tenter d'arriver ce
soir à santander, on garde donc un bon rythme.
La banlieue est en vue et pas trop décevante, par rapport à bilbao. On
arrive en ville et après plusieurs conseils de locaux on fonce vers la
plage, où se trouve notre dernier camping. L'ambiance est cool, en
plus ya une piscine, mais ya pas de portes aux douches:)
Il est 21h on a faim, on veut monter la tente et manger mais elle nous
lâche, on casse l'arceau de l'auvent. Thomas va voir les gars de la
maintenance après avoir demandé autour de nous pour trouver une
solution. Après une petite demi heure à base de clou et de scotch, la
tente n'a pas fière allure, mais ça tiendra deux jours.
Après manger on va se prendre un petit cocktail pour fêter nos 78km du
jour et la fin du périple. Il nous reste 2 jours pour profiter de
santander et se reposer un peu!
Bientôt les photos!

vendredi 10 août 2012

Bye bye Euskadi

Réveil ce matin sur notre aire de repos. On prends notre temps et on profite de l'eau courante pour prendre une douche avec la douche solaire pour partir frais et dispo vers la côte. Après une côte ensoleillée on se retrouve encore une fois dans une zone industrielle du nord de bilbao où on trouve un parc pour manger. L'air sent le pétrole mais on y fait une sieste quand même. On décolle un peu avant 16h et on se trampe à un point d'eau car il fait encore 30°. Quelques km plus tard on quitte le pays basque et on se retrouve dans une grosse station balnéaire pour manger une bonne glace et se baigner. Mais les douches de plages sont bien moins cool que dans le pays basque, on commence dèjà à regretter ;-) Ce soir on opte pour un camping sur la route, dans une crique super jolie où ya pas mal de monde et ça sent bon les vacances. On va passer une bonne nuit pour peut-être finir notre périple demain (déjà, sniff).

Quizz

On voit ce drapeau dans tous les villages qu'on croise. Qu'est ce que c'est ?


Les basques sont cool

Journée de jeudi.
Réveil ce matin dans notre champ ayant vue sur l'estuaire de bilbao, et non sur les vaches qu'on craignait la veille.
On descend manger un super petit dèj à gorliz (cf photo) avant de partir direction bilbao. Une belle route pas trop pentue entre les arbres, parfait vu qu'il fait encore chaud. On pédale donc une vingtaine de kilomètres en direction de bilbao tranquillement dans la matinée. Il commence à faire vraiment chaud quand on arrive aux abords de la capitale du pays basque, c'est un peu la zone et on à du mal à trouver notre route. On découvre enfin une ville à deux facettes, un côté moderne avec un beau front de fleuve se terminant par le musée guggenheim (photo) ; une autre facette avec la vieille ville du moyen âge, et sa belle cathédrale Santiago, dont le clocher nous fait sérieusement penser à... Saint Maclou de Rouen. Au cours de nos visites nous devons partir à la recherche de gaz pour notre popotte et d'une carte (car nous avions perdu la notre il y a 2jours et faisions avec une carte de l'office de tourisme dont on venait à bout). Mission dans bilbao pour retomber sur nos basiques : Décathlon et la fnac.
Le midi par contre, découverte par hasard d'un resto fantastiques pour nous gros mangeurs en ce moment : tout est à volonté (boissons, salades, gaspacho, poissons, crevettes et viandes grillés sous nos yeux, glaces à l'italienne à tirer soi même et cafés), et pour seulement 10,45€ par personnes ! Génial !! S'en suit forcement une bonne sieste dans le super parc de la ville.
Après in peu de tourisme, on quitte Bilbao avec l'aide d'un papi et d'autres personnes qui s'incrustent dans la discussion. On traverse une vallée industrielle qui fait peur et sent mauvais avec autoroute et usine à charbon.
On se réconcilie avec le coin un peu plus loin dans un village qui fait sa fête, on discute avec un ancien qui est fier de nous raconter qu'il a travaillé en normandie en 1956. On assiste au défilé de "chars" et sommes tentés de rester pour la soirée. L'heure tourne et on décide de chercher un coin pour dormir. Dans un village plus loin on trouve une petite aire de repos et on commence à faire la popotte quand troupe débarque : des familles de motards équipés pour un gros barbecue y mucho vino y cervezas. Ils nous invitent à manger une cotelette et on discute toute la soirée dans un mélange français anglais espagnol. Dur pour les neurones et surement drôle de l'extérieur. On goûte les spécialités du coin et apprenons que la terre tourne autour de bilbao. Les gens sont adorables et nous proposent sans cesse à boire et à manger. Bonne tranche de rigolade.
On plante la tente à la frontale et les petits viennent nous dirent au revoir. On va se coucher.





jeudi 9 août 2012

45° au soleil

Journée de mercredi
On décolle tard ce matin du camping après avoir bien profité des douches et autres commodités.
Le trajet est plutôt plat et on avance tranquillement. On se pose le midi dans un champ après avoir fait les courses où on re-teste avec succès le hamac en peau de parachute. Une grosse sieste plus tard on part pour Baiko en plein cagnard, où les côtes se ressemblent et où le soleil tape dru, avec le vent qui s'est levé et ne souffle pas toujours dans le bon sens pour nous. Mais on enchaine des points de vues vraiment magiques. Je pensais pas que l'eau pouvait être si claire en espagne!
En sortant de Baiko on se prend une méga côte de la mort qui tue en plein soleil. On s'arrête plusieurs fois pour se refroidir. Un peu plus tard on tombe sur une centrale désaffectée : en plein milieu de ce décor idyllique, l'endroit fait peur à voir. Impression bizarre.
À la fin de la descente on tombe sur un village-crique trop beau, avec plage de galets (on retrouve les sensations de LH) où on se laisse tenter par une bonne baignade, et un bon coca. Des petits plaisirs qui ont un goût fantastique après cette chaude journée.
Ce soir on galère un poil pour trouver un endroit où passer la nuit. On a bien repéré un champ avec une belle vue, mais la datation bouse14 indiquait un passage récent de vacas. Finalement on discute avec un voisin trop sympa qui nous dit qu'on ne sera pas dérangé par les vaches au réveil demain. Chouette, il est 21h30, on va pouvoir se poser pour faire à manger. Au bilan on a une super vue et un terrain plat. On verra si le voisin disait vrai pour les vaches demain:)



mercredi 8 août 2012

Une vraie journée de touristes

Journée de mardi
Réveil matinal sur les hauteurs de gernika dans un champ avec une belle vue, et plantations de kiwi à côté. On décolle rapidement, direction mundaka, pour trouver tôt une tite place au camping. Ouf, de la place s'est libérée (certes c'est une toute petite place), on peut poser la tente au soleil, faire une lessive, se doucher, et enfin glandouiller un peu ! Le bonheur ! L'après midi nous descendons à la playa : grande plage de sable à marée basse, il fait bon pour bronzer et se baigner. Ensuite on remonte à la piscine du camping, qui a même un petit toboggan.
La télé basque espagnole (etb sat) est là pour un reportage sur le camping, et on la retrouve après à l'heure de l'apéro sur la terrasse du bar. Il font même quelques minutes de direct. Si vous vous voulez, allez voir sur leur site si l'émission de 20h30 est en rediffusion. Nous serons ptêtre dans un ptit coin de l'écran. Tenez nous au courant.
Pour le diner nous descendons en ville dans un resto manger du poisson. Estelle commande des coquillages, thomas du rouget. Les coquillages arrivent, on commence à les manger ne voyant pas le poisson de thomas arriver. Quand on a fini, on voit le serveur ayant une assiette avec deux rougets. Le chef l'attrape en passant et verse à l'arrache un des deux poissons dans une autre assiette, en terrasse, et vient nous les apporter. Les poissons sont sans accompagnement, le vin ressemble à de la villageoise, les desserts semblent avoir été achetés au supermarché du coin, et les prix (salés !) sont hors taxe, évidemment... On a quand même passé une bonne soirée, les plats était bons et on a bien rigolé avec un couple de français à côté de nous.
Ce matin on profite encore un peu du camping et allons bientôt décoller.
À bientôt, quand on retrouvera un peu de wifi.
Ps : merci pour vos commentaires !


lundi 6 août 2012

Du soleil et des côtes

Réveil sympathoche avec un bon soleil qui réchauffe et qui va sécher la tente encore mouillée de la veille. On quitte le campement pour une série de villages dans des criques tous plus mignons les uns que les autres. Des petites montées et descentes entre les arbres avec vues sur mer : c'est magnifique. Rencontre rigolote dans un des ports avec un petit d'environ 8 ans qui nous donné un petit cours de pêche, on voit des centaines d'énormes poissons "no para comer" et quelques anguilles.
Ce midi on mange un gros plat de pâtes sous un grand soleil sur la playa de lekeitio. On en profite pour bronzer un peu mais il nous manque du courage, tout comme une majorité des bronzeurs, pour aller tater la température de l'eau.
Grosse cote en plein soleil dans l'apres midi sur une route passante, pas top mais belle vue quand même. On arrive à gernika où j'ai une pensée pour mon ancien prof d'espagnol qui nous en à tant parlé.
Mission camping ce soir car on n'a pas de camping alors qu'on comptais dessus pour se poser demain. On va donc dormir dans le coin.
Bisous !






L'eau ça mouille

Réveil ce matin sous une bonne pluie. Après le plein d'eau au camping d'à côté, on part sous une pluie fine, profiter de la descente promise la veille. En chemin, on s'arrête pour regarder la vue, et on s'aperçois qu'on est fixés par une biquette qui s'avère coincée dans le grillage. Estelle, l'amie des animaux, libère la pauvre bête...
Les paysages sont encore magnifiques malgré la pluie, les côtes sont escarpées et les villages dans les creux dès qu'une plage pointe son nez. Nous avons parfois des passages en bord de mer, et les vagues viennent se casser sur les rochers près de nous. Avec la pluie on se croirait en bretagne !
Ce qui est bien avec ce temps, c'est que ça fait une bonne excuse pour se faire un ptit resto. Donc au menu ce midi : découverte des tapas basques prises sur le comptoir et petit menu rapide et pas cher. Réussite : normal vu le palmarès des recommandations routard affichées à l'entrée.
Ce soir on s'est trouvé un bon coin avec vue sur mer imprenable et table en bois. On vient de voir un très beau coucher de soleil et on est bercés par l'océan qui vient s'échouer 50m en contrebas, et un petit grillon (tout seul).
Bonne nuit !




dimanche 5 août 2012

Ça grimpe

Message tapé hier soir mais des problèmes de wifi nous ont empêché de l'envoyer...

Je crois qu'on a été légèrement trop ambitieux pour notre début de voyage. Après réflexion, commencer par un gr n'a pas été le meilleur choix qu'on puisse faire pr se mettre en jambes. Le paysage a été génial, avec des criques magiques, des tons mi irlandais mi marseillais. Par contre on a souvent poussé le vélo. Du coup on s'est bien crevés et on a fait de bons petits denivelés avec de belles photos à la clef.
On arrive à san sebastian vers 17h30 après une descente d'anthologie avec des pointes à 69km/h pour thomas. Belles courbes, routes en bon état, paysages éclairés par des trous de lumière. La station balnéaire est sympathoche et on se baigne dans d'énormes vagues. Il est 18h30. La mission campement commence. On choisi la voie de la prudence avec un camping fleché dès la sortie de la ville : si on trouve rien sur la route, on aura un endroit sûr pour dormir. Le truc c'est qu'il y a pas mal de denivelés et qu'Estelle est fatiguée, normal vu comment on en a bavé ce matin. Évidemment on trouve rien sur le chemin, on arrive à 21h30 au camping qui s'avère super loin (4km de côte) et... Complet.
On fait 150m et on se pose dans un coin pas loin de la route, à côté d'un parking mais à plat avec une belle vue. En plus on profite gratos du concert de rock du dit camping. Bref on s'écroule de fatigue.
À demain.

Nuit mouillée mais jolie vue au réveil



Quelques photos de samedi

- Vue au dessus de irun et handaye
- entre mer et montagne...




La pause repas samedi midi


vendredi 3 août 2012

C'est partit!

On a rien oublié? Sur sur hein? Bon, ben go.
On décolle de l'appart vers 20h30 pour une petite traversée de paris rigolote puisque plein de gens nous regardent ou se retournent en nous voyant passer. On passe par de grandes avenues vers montparnasse, sur la voie de bus au centre de la route, avec un coucher de soleil dans l'axe et de gros nuages oranges; trop beau, ça commence bien.:)
En chemin on croise des copains sacoches (un couple qui part en voyage en vélo-sacoches), on s'échange un gros coucou, à la camping-cariste style.
On arrive à austerlitz, on cale les vélos dans le wagon vélo, et nous dans nos fauteuils.
Le contrôleur vient de passer pour éteindre les lumières de notre wagon sièges inclinables, on sort les duvets (la classe!) et dodo.

Préparatifs

Bon, ça y est ! On commence à se rendre compte qu'on va partir dans quelques heures. L'appart est propre, les bagages sont faits, on écris des petits mots pour les copains qui vont passer arroser les plantes, on vide sa carte mémoire, on charge les batteries à bloc ; les checklists sont complétées => ça se présente pas mal.

Hier soir on s'est fait une petite soirée "on vérifie tout et on le pose sur le lit" pour bien avoir conscience de ce qu'on prend, bilan plutôt positif (voir photo ci-dessus) avec seulement 14kg pour Estelle et 21kg pour moi eau comprise. Ça parait énorme sur le lit mais finalement ça rentre plutôt bien dans les sacoches.

La seconde photo illustre le week-end dernier qu'on a passé à récurer nos vélos, changer les pneus, enlever la crasse des chaines, graisser et cie. C'est vrai qu'un petit coin d'herbe pour travailler sur son vélo au soleil c'est vraiiiment agréable !
On mange, on file les clés aux copains, on traverse Paris en vélo pour rejoindre la gare d'Austerlitz, on monte dans le train à 22h12 et à 9h40 demain matin on peux attaquer nos première côtes en Espagne !
Il nous tarde vraiment de commencer, même si on sait que nos fesses vont terriblement nous faire mal dès dimanche :)
A bientôt sur la route !